L'Empire galtique a de tout temps convoité les richesses du Khaiem, mais le pouvoir des andats avait jusque-là réussi à le dissuader d'attaquer. Balasar Gice, l'impitoyable général en chef de l'armée de Galt n'a qu'une obsession : les empêcher de détruire le monde, comme ils l'ont déjà fait plusieurs siècles auparavant. Balasar détient désormais une arme secrète qui pourrait annihiler à jamais le Khaiem et ses esprits magiques...
Le général Balasar Gice, un Galtt, qui doit conduite l'invasion du Khaiem a réussi à récupérer dans les terres désertiques de l'Ancien Empire des livres permettant la Contrainte d'un andat. Un poète renvoyé par le Dai-kvo s'est rallié aux Galts et le général va pouvoir assurer la suprématie de l'empire Galt.
Alors que les troupes progressent pour envahie une à une les cités de l'Utkhaiem, le poète libère les andats rattachés aux cités qui se trouvent sans défense et incapables de résister aux tropes aguerries Galtes.
Avec pour intrigue une guerre ce tome se révèle plus classique que les deux précédents.
Avec une guerre on s'attendait à ce que le récit soit plus dynamique mais il n'en est rien. En effet sans armées les cités ne résistent pas et sont enlevées sans presque aucun combat. Ce n'est que dans la dernière partie du roman où Otah Machi tente de ralentir l'avancée des troupes ennemies que l'on a droit à quelques petites escarmouches décrites en quelques mots seulement. L'auteur ayant mis l'accent sur le travail des deux poètes de Machi pour créer dans l'urgence un nouvel andat.
Un récit qui continue sur la même tonalité que précédemment.
L'univers ne se développe plus, tout comme les personnages qui ne gagnent plus en profondeur.
Un tome légèrement en deçà de deux précédents.
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