mardi 30 septembre 2014

BILAN LECTURE 3ème TRIMESTRE 2014


Livres lus

&

Chroniques effectuées au troisième trimestre 2014.


Coups de Cœur :

Pas de coup de cœur ce trimestre

J'ai aimé :

Lectures dans le cadre du défi Imag'in Café

Death Dealer - James Silke et Frank Frazetta
 Tome 3 - Dans le griffes du mal
Tome 4 - Les assassins de l'ombre

Lectures dans le cadre du challenge 


Les sept lames - David Chandler
Tome 1 -  L'antre des voleurs
Tome 2 - Un voleur dans la nuit

Lectures dans le cadre du défi Imag'in Café
et du challenge


Sorceleur – Andrezj Sapkowsi
Tome 3 - Le sang des elfes

Tome 4 Le temps du mépris

Les chemins de Camelot - Sarah Zettel
Tome 1 L'ombre de Camelot

Les contes de Sarbo - Alexandre Roméo Morisani
Tome 1 Présences Nocturnes


J'ai moyennement aimé :

Lecture dans le cadre du challenge 



Les sept lames - David Chandler
Tome 3 - L'honneur des voleurs

Les cinq objets divins - Lucie Goudin
Tome 1 - La nouvelle épopée

Le manuscrit des terres mortes - Evelyne Simar
Tome 1 - Les apprentis-héros

Les chroniques de Galadria - David Gay-Perret
Tome 1 - L'autre Monde

Kekeana l'assassineuse - Sarah J Maas



Je n'ai pas aimé :

Les chroniques de Galadria - David Gay-Perret
Tome 2 - Rencontres

Altaveran - Les cinq protecteurs - Alexandra Rossi

Maléfica - Hevé Gagnon

Tome 1 La voie du livre


Défi Imag'in Café

12/19


Challenge Mort Sûre



19/20




Les Contes de Scarbo Tome 1 Présences Nocturnes - Alexandre Roméo Morisani



Le mystérieux Scarbo ne paie pas le loyer à son colocataire en argent : il lui écrit de courtes histoires, qui semblent amuser les deux êtres. Des contes sombres, parfois terrifiants, aux issues inexplicables.


Pour sa première œuvre l'auteur nous entraîne dans un univers fantastique contemporain.
Présences Nocturnes est le premier tome des Contes de Scarbo, un recueil de nouvelles, assez court, est composé de trois petites histoires.
Œil pour œil :

Un homme en arrêt maladie depuis le décès accidentel de son épouse, survenu au surlendemain d'un pot de fin d'année où il a reçu en cadeau un buste de femme énucléée qui avait suscité pour le couple une nuit de cauchemars, reçoit la visite du psychologue de son entreprise à qui il narre ses déboires.

Dès le début de l'histoire, l'auteur introduit les suspense par une courte phrase qui pourrait, au premier abord, paraître anodine, mais qui se révèle en fait l'élément déclencheur du récit.
Puis il poursuit son récit en enrobant l'élément déclencheur d'un contexte où l'ambiance inquiétante de l'histoire monte graduellement en pression.

Une fin qui se révèle, comme le laissait penser le développement de l'histoire, assez convenue, le lecteur imaginant sans peine le dénouement bien avant que celui-ci n'arrive.

Les âmes souterraines :

Un jeune assureur de profession a emménagé seul dans une grande demeure où les corps des anciens propriétaires ont été retrouvés au fond d'un puits situé dans la cave. La découverte d'une petit recueil de légendes jauni, auquel il manque quelques pages, va changer son existence, mais surtout ses nuits.

Au fil des pages, l'auteur fait bien ressortir la climat hostile qui entoure le protagoniste. L'opposition d'un cadre parfois décrit comme sympathique renforce le sentiment d'emprise, qui monte graduellement en crescendo, qu'exerce la maison sur le nouveau propriétaire. L'alternance du passé des lieux avec le temps présent ménage encore plus le suspenses. Et, contrairement avec la précédente nouvelle, il est difficile d'imaginer où l'auteur veut nous emmener.

La montée en puissance de l'angoisse est ici excellente, plus subjective, moins directes. Les descriptions son criantes de vérité, le lecteur visualise les scènes en même temps que le protagoniste principal. Dans les dernières l'auteur distille un peu de poésie qui atténue un peu le côté macabre de la situation.

Le liseur de nuit :

Dans cette troisième nouvelle, l'auteur introduit brièvement l'histoire en décrivant les rapports entre les doyens d'un immeuble. Un homme se rend chez sa voisine pour lui apporter un magazine et trouve étrange l'odeur de putréfaction qui règne dans l'appartement, sans plus s'en inquiéter.

L'auteur nous présente ensuite l'homme à son travail. L'homme n'arrive pas à se dépêtrer de l'odeur qui régnait dans l’appartement. S'ensuit une série de quiproquos qui monte crescendo jusqu'à la suite finale.

Avec le Liseur de nuit , l'auteur nous gratifie d'une nouvelle très courte, rédigée, encore une fois de fort belle manière dans le traitement d'un fait divers qui est malheureusement trop fréquent de nos jours. Les thématiques de la solitude chez les personnes âgées et l'indifférence des voisins en milieu urbain sont ici traités de manière originales.

Entre fantastique et horreur, l'auteur nous livre un recueil de très bonne facture. Le vocabulaire employé par l'auteur s'avère assez riche sans être complexe hormis l'emploi de quelques peu usités dans la vie courante. L'écriture fluide de l'auteur nous offre une excellente dynamique malgré les passages un peu longs de la mise en contexte, mais nécessaires à la bonne compréhension de l'histoire.

Le postulat de départ, se faire payer en récits est assez innovant dans le fait de faire intervenir un narrateur de manière indirecte.

Avec ce premier recueil, l'auteur nous offre trois récits très intéressants à partir d'idées toutes plus originales les unes que les autres. Mais malgré des textes forts en profondeur, les conclusions des récits sont quelque peu assez prévisibles, on aimerait que l'auteur nous surprenne davantage. Un premier recueil de très bon niveau qui devrait satis faire pleinement les amateurs du genre et qui donne envie de lire la suite.





MALEFICA TOME 1 LA VOIE DU LIVRE - HERVE GAGNON



L'intrigue de Malefica se situe dans la France de l'Ancien Régime, à l'époque des révoltes populaires, des famines et de la christianisation des campagnes par le clergé de la Contre-Réforme. On voit le diable et le mal partout, et la chasse aux sorcières atteint son apogée.

Dans le petit village d'Abelès, la guérisseuse Anneline Dujardin, sa mère, Catherine, et sa fille, Jeanne, coulent des jours paisibles, jusqu'à l'arrivée du nouveau curé, l'abbé Fagot. Celui-ci voit en elles des sorcières et les harcèle. Il convaincra le tribunal de l'inquisition de leur culpabilité.

Dans un village voisin, François Morin, armurier, est témoin du meurtre de sa femme et de sa fille pour avoir refusé de payer la gabelle ; il exercera sa vengeance mais sera à son tour pourchassé par le frère du gabeleur, prévôt de justice.

Anneline et François deviendront alliés. Ensemble, ils tenteront d'échapper à leurs ennemis : l'inquisiteur, le prévôt… et les mousquetaires du roi. Car à cette fuite s'ajoute une chasse au trésor guidée par des inscriptions contenues dans un étrange grimoire légué à Anneline par sa mère, qui remet en question la place de Louis XIII sur le trône de France… 


L'AUTEUR

Hervé Gagnon est né au Canada en 1963.

Il a enseigné l'histoire du Canada et la muséologie dans plusieurs universités du Canada.

Le premier volume de sa série jeunesse Le Talisman de Nergal est sorti en France en 2009. Une série dont l'écriture a débutée en 1999.

Sa tétralogie Damné est parue en France en 2011, suivie en 2013 d'un diptyque Vengeance.



Après Damné un thriller ésotérique médiéviste, teinté d'ésotérisme, sur fond de Croisade des Albigeois et mettant en scène des Templiers, l'auteur canadien plus connu pour son cycle jeunesse Le Talisman de Nergal, nous entraîne une fois de plus, avec Maléfica, dans un thriller historique.

Avec le premier tome de Maléfica, l'auteur propulse le lecteur en plein XVIIème siècle, sous le règne de Louis XIII. Une époque où le peuple était soumis à une Église toute puissante, où les curés étaient des fanatiques, où l'Inquistion, au nom de la croyance, commettait les pires exactions. On retrouve, avec l'Inquisition, un thème cher à l'auteur, puisqu'elle figurait déjà dans sa précédente tétralogie.

Le roman débute sur un accouchement. Huit ans après la naissance de la petite Jeanne, la lignée de guérisseuses, accusées d'hérésie et de sorcellerie par le nouveau curé du village, les femmes doivent fuir. Leur chemin va croiser celui d'un ancien soldat qui s'est vengé des meurtres de sa femme et de sa fille, par un collecteur d’impôts et de ses sbires en les assassinant. Unissant leurs destins, ils vont tenter d'échapper à la prévôté, aux mousquetaires, à l'Inquisition et à un amoureux éconduit.

Dans leur fuite, les deux femmes emmènent un grimoire familial de prés de mille ans, où sont consignées, de générations en générations, les recettes des guérisseuses, mais aussi une révélation qui pourrait mettre en péril la légitimité du trône de France.

Comme dans tout tome introductif, l'auteur nous fait découvrir ses protagonistes principaux, situe son récit dans le temps et petit à petit nous place le contexte de son intrigue.

Avec une histoire au schéma trop classique, un secret pseudo-mystique qui ferait trembler les institutions en place et avec les mêmes thèmes émergents que dans sa précédente tétralogie, l'emprise de la religion, la convoitise et le pouvoir, une sauvagerie sans pitié,... l'auteur n'apporte rien au genre. Depuis le Da Vinvi Code de nombreux auteurs se sont engouffrés dans le genre avec toujours la même recette.

Si l'intrigue est banale, le récit est bien mené et l'auteur nous entraîne dans une histoire, qui à défaut d'être intéressante, s'avère plutôt bien rythmée : bagarres, fuites, complots, sexe, amour, violence,religion. L'auteur n'hésite pas à malmener ses lecteurs en décrivant avec précision des scènes de tortures commises sur de pauvres femmes parce qu'elles avaient un certain savoir.

L'auteur nous décrit à merveille l’atmosphère de cette époque : la misère du peuple, la famine, les révoltes, et la christianisation des campagnes par le clergé dans une époque où l'on voit le mal partout, et où la chasse aux sorcières atteint son apogée. La formation d'historien de l'auteur a fortement orienté l'écriture de ce premier tome, la reconstitution de la vie à cette époque est très bien documentée.
Dans ce monde un peu étrange et violent de l'Inquisition l'auteur apporte une note de douceur avec la romance entre les deux protagonistes principaux. Une note de romance, toutefois quelque peu gâchée par les scènes de sexe par trop imagées et qui n'étaient pas nécessaires au récit.

Malgré une très bonne dynamique et la justesse des scènes en toute circonstances,
Maléfica s'avère d'une lecture assez peu prenante par rapport à sa tétralogie précédente qui présentait un meilleur attrait pour le lecteur. En espérant que le tome deux présentera plus de profondeur.




dimanche 28 septembre 2014

C'est lundi, que lisez-vous ? Semaine 40 (29).





Bonjour tout le monde !

C'est LUNDI, que lisez-vous ? est un rendez-vous quotidien où l'on réponds à 3 questions :

1. Qu'ai je lu la semaine passée ?
2. Que suis-je entrain de lire en ce moment ?
3. Que vais-je lire ensuite ?

Le RDV est coordonné par GALLEANE.











   








    

ET APRES ACHAT


BONNE SEMAINE LITTÉRAIRE A TOUS 
LES BLOGOLECTEURS

ET RENDEZ-VOUS DANS QUINZE JOURS



mardi 23 septembre 2014

L'OMBRE DE CAMELOT - SARAH ZETTEL


A dix-neuf ans la belle Rhian est en âge de se marier, mais aucun prétendant ne trouve grâce aux yeux de son père. Pour sauver la vie de sa mère, il l'a promise à un sorcier !
Rhian refuse d'être sacrifiée. Armée de son arc et de son courage, elle prend les rênes de son destin et s'enfuit.
Bien vite le danger surgit sur sa route. Le chevalier Gauvain, filant à bride abattue vers Camelot pour avertir son souverain des menaces de guerre, lui porte secours. Ensemble, ils se lancent à l'aventure pour sauver l'âme de Rhian... et le royaume.



L'AUTEUR

Sarah Zettel est née à Sacremento, en Californie en le 14 décembre 1966.

Elle a écrit quatre romans de science-fiction et de nombreuses histoires courtes de la SF, Fantasy et d'horreur. Elle a reçu le prix Locus en 1997 pour un de ses romans SF.


L'auteur reprend le mythe arthurien, en faisant preuve d'originalité, ici les personnages ne sont pas Arthur, Merlin , Guenièvre... mais Rhian et Gauvain, elle s'est inspirée de deux histoires moyenâgeuses : "Sire Gauvain et le chevalier vert" et "Sire Gauvain et la dame répugnante". Premier tome d'une série de quatre livres qui fait revivre au fils du roi Lot les grandes aventures des quêtes arthuriennes tout en y insérant sorcellerie et romance.

Si les histoires ne sont, certes, pas originales, manquent de souffle et que les rebondissements sont prévisibles, la plume de l'auteur est efficace, fluide et un grand luxe de détails achève de planter efficacement le décor. L'auteure parvient a insuffler un souffle nouveau dans la lutte entre les Saxons et les Bretons pour la possession de la Bretagne.

Le baron Rygehil des Morelands, ayant promis avant sa naissance sa fille, Rhyan, au sorcier Euberacon en échange de la vie de son épouse alors gravement malade, refuses toutes les demandes en mariage. Lorsque celle-ci découvre la vérité, elle s'enfuit et son chemin croisera celui du chevalier Gauvain.
Les personnages sont pleins de forces mais aussi de faiblesses qui les rendent particulièrement humains et accessibles. L'auteur donne une vision peu habituelle de Gauvain érigé, ici, en héros romantique et torturé. Si Rhian, refusant le sinistre sort qu'on lui réserve, fait preuve de caractère et ne baisse pas les bras même dans les pires situations, on aurait toutefois apprécié qu'elle s'affirme davantage. Quand au sorcier, il se révèle maléfique, prêt à utiliser toute la magie noire dont il est capable pour arriver à ses fins.
La première partie, comme dans tout tome introductif, est surtout consacré à la mise en place de l'univers, des personnages et à faire naître la romance entre les deux protagonistes principaux. Une histoire d'amour trop facile, leurs sentiments se dévoilant trop tôt, pour être réellement crédible.
La deuxième partie du roman et meilleure, plus sombre, plus grave emplie de magie noire et d'embûches pour nos infortunés héros. Cette deuxième partie est plus adulte, et l'auteur montre qu'elle possède une sacrée imagination en proposant une sorte de conte de fées sombre qui revisite avec bonheur quelques légendes populaires. Une deuxième partie pleine de rebondissement, de magie... c'est un vrai conte de fées.

Dans une quête d'amour et d'identité, l'auteur nous offre une très bonne réécriture des mythes arthuriens dans lesquels le lecteur se laisse entraîner facilement. Un premier tome sympathique qui malgré un fil conducteur, Camelot, peut se lire indépendamment des suivants. De la fantasy ultra classique mais qui saura certainement trouver son public et pourrait aux lecteurs ne connaissant pas le mythe arthurien de l'aborder d'agréable manière.







vendredi 19 septembre 2014

ALTAVERAN : LES CINQ PROTECTEURS - ALEXANDRA ROSSI



Altaveran, épée mythique à l’origine du conflit ayant opposé Elfes Sombres et Elfes Lumières des contrées de Sarda, confère à son détenteur d’immenses pouvoirs. Reyan Teneri, jeune Elfe hybride et ambitieux, rêve de s’en emparer alors qu’elle semblait perdue à jamais. Mais il est loin de se douter que détenir une telle lame lui réservera bien des épreuves qui le mèneront sur le chemin d’une destinée insoupçonnée… Entre batailles, trèves, pièges, rebondissements, amour et magie, Altaveran fera vivre à Reyan des aventures hors du commun !


Altaveran, les cinq protecteurs d’Alexandra Rossi est l’intégrale de l’œuvre du même nom.
Altaveran est une épée forgée dans les temps anciens et qui serait l'arme la plus puissante jamais fabriquée.
Une épée qui n'est pas sans rappeler la légende du Roi Arthur avec Excalibur ou encore Durandal dans La Chanson de Roland.
Dans le prologue, l'auteure cite : Et tout ça pour une vulgaire lame.
Alors épée mythique ou pas ?
C'est dans une high-fantasy jeunesse à la facture plutôt classique que l'auteur nous entraîne dans une intrigue, elle aussi simple, mais à facettes multiples : à la fois initiatique, de quête et de sempiternelles luttes contre les grands méchants qui veulent conquérir le monde.
L'auteur installe doucement le contexte et nous présente le protagoniste principal, un jeune elfe hybride qui découvre, en même temps que le lecteur, moitié Lumière et moitié Sombre. Un héros pour lequel le lecteur a du mal à ressentir de l'empathie, particulièrement arrogant, prétentieux, imbu de lui-même. Un héros qui aurait pu être attachant, si ses défauts prêtaient à une conséquence et, lui revenait dessus, ce qui n'est pas le cas ici.
L'auteur a axé l'intégralité de son récit sur le héros et bien que l'opus comporte 702 pages, le lecteur que je suis aurait préféré que les deux personnages, à savoir le frère et la sœur, soient relégués au second plan. Ces deux personnages, attirant plus notre sympathie auraient apporté plus de diversité à l'histoire. Quand aux grands méchants, ils sont par trop semblables et quelque peu caricaturaux. L'auteure a préféré effectuer un copié-collé plutôt que de creuser ses personnages secondaires qui sont bien ce que le terme signifie secondaires. Les dialogues des personnages, qu'ils soient principaux ou secondaires, sont sans surprises, puérils, voire affligeants, décrits de manière scolaire et l'on trouve également des incohérences. Seul le personnage de Moen tire un peu son épingle du jeu.
L'histoire, malgré de nombreuses action et retournements de situations, présente un intérêt trop linéaire, jusqu'à la dernière partie et l'apparition des Protecteurs qui amènent une idée un peu novatrice. L'histoire, par trop prévisible, est trop largement fortement inspirée de moults romans antérieurs pour être captivante et, les actions du jeune héros sont trop facilitées par l'auteure. Pour exemple, dans la partie quête de l'artefact, celui-ci parvient à déjouer trop facilement les pièges protégeant l’Épée de l’Étoile réputée pour être imprenable.
Si l'histoire s'avère prenante, elle soufre toutefois d'un défaut sa vitesse, tout se déroule trop vite pour le héros qui enchaîne sans difficulté les batailles et succès malgré les difficultés qui s'accumulent sur son chemin.
L'univers et la diversité des races qu'il comporte, bien qu'assez diversifié, n'apporte pas un regain d'engouement de la part du lecteur, car comme pour l'histoire, il n'y a pas, à proprement parler d'idées novatrices.
Si géographiquement la diversité des lieux est très intéressante, il faut se rendre à l'évidence l'absence de carte se fait cruellement sentir et, les descriptions fort bien réalisées, dans la première partie, n'ont pas la même ampleur dans la seconde partie.
Avec Altaveran, l'auteur nous offre un roman dont le postulat de départ doté d'un sérieux potentiel dont les idées ne sont pas pleinement développées du fait quelles sont trop nombreuses, ce qui a pour effet que l'on manque de continuité dans le récit, sautant souvent d'une action à l'autre. Un roman au style trop simple et manquant d'ellipses qui auraient apportées plus de profondeur au récit.






dimanche 14 septembre 2014

C'est lundi, que lisez-vous ? Semaine 38 (28).



Bonjour tout le monde !

C'est LUNDI, que lisez-vous ? est un rendez-vous quotidien où l'on réponds à 3 questions :

1. Qu'ai je lu la semaine passée ?
2. Que suis-je entrain de lire en ce moment ?
3. Que vais-je lire ensuite ?

Le RDV est coordonné par GALLEANE.





 



 




       


BONNE SEMAINE LITTÉRAIRE A TOUS 
LES BLOGOLECTEURS

ET RENDEZ-VOUS DANS QUINZE JOURS