Un puissant sorcier s'empare d'un royaume et c'est le début d'une longue et grande aventure qui va nous mener de planète en planète. Raymond Procès, nous conte une croisade initiatique où se mêle tour à tour la magie, l'amour, le désespoir, la mort, l'affrontement. Tout en charme et en poésie, les scènes sont dépeintes avec justesse et les personnages gardent une belle profondeur d'âme qui donne à ce roman un magnétisme sans nuance. Le combat du bien et du mal, l'éternelle ritournelle, prend sous la plume de Raymond Procès un accent prépondérant de la conscience.
Alors qu'avec son ami Astur, ils déposent le fruit de leur chasse dans un village, le prince Agor est prévenu par un vieil homme aveugle que des événements terribles vont mettre en danger l'avenir de la planète Osga.
Alors qu'ils regagnent le château, celui-ci est assiégés par de sauvages guerriers gonadiens débarqués d'un insolite nuage avec à leur tête W ampas un perfide sorcier noir.
S'engage un combat mais son ami Astur étant tué, le prince doir prendre la fuite à bord d'un vaisseau spatial vestige du passé de la planète Osga.
L e récit prend place dans un univers de space-fantasy mélange de dark-fantasy et de science fiction. Mais à l'arrivée sur terre lorsque le prince Agor partage le corps de Joe un journaliste, le récit dérape totalement pour se muer en pseudo Marvel de bas-étage.
Il faut attendre les dernières pages de la novella pour retrouver un semblant de récit cohérent.
Des personnages aux actions pour la plupart inintéressantes qui s'éloignent trop fortement du postulat de départ.
Une dynamique de lecture rapide pour un trop court récit qui part dans tous les sens et une typographie qui laissent peu de place pour quelque chose pouvant présenter un intérêt pour un lecteur. Après un début prometteur le développement part dans tous les sens.
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