jeudi 27 juin 2024

Mako de Laurent Guillaume

 


Paris, la banlieue... À la sortie d'un night-club, une jeune fille est victime d'une sauvage agression.
Mako, policier de la BAC, taciturne et endurci, obsédé par l'idée d'en punir lui-même l'auteur, s'investit dans l'enquête au-delà de la raison. Il déclenche une traque qui l'emmènera loin, aux confins de la folie, là où le bien et le mal se confondent. De l'enfer des trottoirs aux boîtes de nuit branchées, Mako hante les bas-fonds d'une société en perdition.



Une jeune étudiante hongroise est agressés peu de temps après sa sortie d'une boîte de nuit. L'homme la tirant par les cheveux l'entraîne dans un bâtiment après en avoir défoncé la porte.

Un appel radio signale une effraction dans une école maternelle, c'est l'équipe du Major Makowski qui s'y rend. Mako appréhende très violemment le violeur.

Au commissariat il entre dans la cellule de l'homme et le tabasse l'envoyant à l’hôpital. Ce qui n'est pas du tout du goût du juge des libertés qui libère le violeur.

Mais Mako n'en a pas fini !


Même si les Stups sont sur une importante livraison de drogue, il n'y a pas de véritable enquête dans ce roman estampillé comme policier. Le récit étant en grande partie centré sur Mako et essentiellement basé sur l'action.


Si l'on comprend ce qui motive la manière d'agir du Major, on n'arrive pas à entrer en osmose avec lui car agissant souvent en dehors des lois et gênant le travail de ses collègues des Stups.

Un roman plus pour les amateurs de récit d'action que pour les lecteurs de romans policiers avec une intrigue complexe.




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