lundi 11 mars 2013

La Geste du Sixième Royaume


TOMAS Adrien

La geste du sixième royaume





Les Cinq Royaumes : des nations turbulentes et ambitieuses souvent en guerre. Au coeur des terres, un sixième royaume :la Grande Forêt légendaire, impénétrable et hostile. Dans les maisonnées de Sélénir, dans les cases de Val ou dans les yourtes des nomades des steppes de Khara, le soir au coin du feu, on raconte aux enfants la légende suivante : tes rêves, tes cauchemars comme les créatures fantastiques des contes que tu aimes peuplent le sixième royaume.

Alors pourquoi un baladin perdu, une belle sorcière aux terribles pouvoirs endormis depuis cinq cents années, un jeune voleur des rues amoureux, un demi-nain commerçant débonnaire et un homme-loup monstre de foire se retrouvent attirés par la Grande Forêt ? 

Que découvriront ils ? La fin d'un monde ? Le sang et les larmes ? L'amour et la tragédie ?

Note de l'éditeur

La Geste du sixième royaume raconte avec un rythme effréné les destinées de ces héros malgré eux, semées d'embûches, de pièges, de doutes, de découvertes incroyables et de magies insaisissables.
Adrien Tomas signe un premier roman haletant écrit dans un style limpide. Le suspense et la tension y sont remarquablement agencés et ceci jusqu'au dénouement final. On s'attache immédiatement à tous les personnages, à leur vie héroïque comme tragique.




Ce roman qui manque cruellement d'originalité dans le genre  ne révolutionnera en rien la Fantasy épique. L'histoire balisée entre destinées, prophéties, magies ne surprendra en aucune façon le lecteur. Bien que l'intrigue est pleine d'actions, de mouvements, de retournements de situation..... le lecteur ne parviendra pas à s'immerger dans l'histoire trop fractionnée. Chaque chapitre est animé par un personnage. Il n'y a pas de narrateur. La succession inlassable de focalisations sur les personnages, et cela sur parfois à peine une page, devient rapidement insupportable, le lecteur a du mal à rebondir d'un passage à l'autre.

Côté personnages, le casting hétéroclite et pléthorique du roman est inégal. Corius, par exemple, fait partie des protagonistes dont le destin ne touche guère le lecteur : scène où il revient sur son passé. Il est décrit comme amer mais cela ne passe pas. Tout comme Moineau dont les premières scènes évoquent des situations vues et revues.

L'univers mis en place par l'auteur est déjà vu, mais reste solide et possède quelques petites idées intéressantes qui méritent d'être découvertes.

Les scènes d'action sont très bien décrites, et l'intrigue est très addictive. La dynamique du roman est excellente, mais le rythme tarde à la rattraper ce qui nuit à l'action, car l'impact sur le lecteur est décalé.
De surcroît, ce roman possède quelques erreurs de jeunesse, certains passages paraissent  guindés ou possèdent quelques longueurs, et l'auteur a un peu de mal à romancer certains passages.

Un premier roman qui ne restera pas dans nos mémoires, et qui ne donne pas envie de lire les écrits ultérieurs de l'auteur.   




  





samedi 2 mars 2013

Bienvenue sur les chroniques littéraires de Goupil



Bienvenue à tous sur les Chroniques Littéraires de Goupil




Ce blog est dédié à la littérature de l'Imaginaire
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