13
décembre, nuit de la Sainte-Lucie à Stockholm. Le sociologue Thomas
Heber est retrouvé mort dans une ruelle. Leo Junker et Gabriel Birck
sont en charge de l'enquête. Dans les notes de Heber, ils trouvent
des indices laissant supposer qu'un assassinat politique serait sur
le point d'avoir lieu. Mais qui est visé ? Leo se rend bientôt
compte que la mort du sociologue n'est pas un incident isolé : une
menace bien plus grande pèse sur les hautes sphères de la politique
suédoise.
Ambition,
trahison, corruption : Nuit blanche à Stockholm est une incursion
dans les milieux extrémistes d'un royaume de suède insoupçonné.
Le cadavre d'un homme est retrouvé dans une petite cour d'un quartier peu fréquenté de Stockholm. La victime est rapidement identifiée, il s'agit de Thomas Marcus Heber, un professeur de sociologie de l'université.
C'est l'inspecteur Léo Junker qui est chargé de l'enquête et il obtient quelques renseignements avec le seul témoin du meurtre un enfant de six ans.
Alors que lui et son collègue apprennent que le professeur menait une étude sur les mouvements d’extrême droite et d'extrême gauche, la sécurité d'état reprend la direction de l'enquête.
L'enquête est assez bien menée mais toutefois manque de rebondissements et de ce fait ajouté à certaines longueurs le suspense est peu présent. Les indices ne permettent pas de se faire une idée précise de l'affaire, e n'est que dans les derniers chapitres que l'on parvient à assembler les éléments que l'on a pu retenir.
Le personnage central est une fois de plus, de trop devrait-on dire, en proie à ses démons qui suit des séances chez le psychiatre avec un traitement plutôt lourd, ce qui fait que le lecteur ne parvienne pas à entrer en osmose avec lui.
Un roman policier moyen qui e parvient pas à convaincre le lecteur.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire