Un homme est retrouvé assassiné d'un coup de couteau à la jugulaire dans le parking sous-terrain de l'immeuble où vit sa maîtresse. Une rose est enfoncée dans la plaie et du sucre est découvert dans la gorge de la victime… Assez vite, un deuxième puis un troisième cas apparaissent, présentant le même modus operandi. S'agit-il d'une vengeance familiale, professionnelle ou la signature d'un tueur en série ? De l'Afrique au prise avec Ebola, en passant par des magouilles de laboratoires, de manipulations et de guerre des polices, on s'aventure avec délectation dans un enchevêtrement de pistes, formidablement rythmées, et l'on retrouve l'attachant major Yoann Clivel, avec ses zones d'ombre et son passé douloureux qui s'ouvre enfin à ses perceptions extrasensorielle
Le corps de Roger Bural, un riche patron de laboratoire pharmaceutique a été découvert dans un parking du 13ème. La victime a été égorgée et dans la plaie, pour seul indice, plantée une rose blanche.
Le major Clivel insiste auprès de la juge d'instruction, une ancienne maîtresse, pour avoir l'enquête. Rapidement le lien est fait avec le meurtre similaire d'un patron d'agence de communication qui travaillait pour le laboratoire, et qui avait eu dans le passé une relation avec la fille Bural.
Avec son chef direct, Clivel se rend en Afrique pour l'interroger. Elle va le mettre sur la piste de l'assassin, tout au moins pour le mobile, en révélant les magouilles pharmaceutique de son père qui ont en Afrique causées beaucoup de morts.
Une enquête assez simple et facile à résoudre pour l'équipe d'enquêteurs mais pas assez complexe et développée pour le lecteur.
De plus l'auteure s'épanche trop sur la vie du personnage central et notamment sur ses relations compliquées avec les femmes. Un problème existentiel déjà largement traité dans les tomes précédents et qui laisse au lecteur une impression de déjà vu.
Malgré une intrigue évidente pour le lecteur, l'équipe policière met un peu trop de temps à résoudre les meurtres alors que tout semble évident. On sent l'auteure en manque d'inspiration.
Un policer nettement moins intéressant que les premiers tomes.
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