« Qui a vu l'engoulevent voit sa mort », dit un proverbe tant suédois qu'iranien à propos d'un oiseau connu aussi pour annoncer le printemps. La ville tranquille d’Uppsala est le théâtre d'une série d'actes de vandalisme. Les vitrines de la rue commerçante volent en éclat et un jeune homme est retrouvé assassiné. De retour de congé maternité, Ann Lindell enquête, peinant à calmer les ardeurs de son collègue Ola, alors qu'Edvard, son ancien amant, reprend contact.
Les vitrines de la rue commerçante d'Upsala ont été vandalisées mais toutes les patrouilles de nuit étaient occupées sur d'autres incidents.
Dans une des boutiques, une librairie, le corps d'un jeune homme a été retrouvé. La victime a été frappée à plusieurs reprises à la tête à coups de chaise. Mais la police scientifique ne relève aucune empreinte.
La supervision de l'enquête est assurée par Ann Lindell qui revient de congé parental.
L'enquêt est peu intéressante, car diluée dans de nombreuses longueurs. D'une part les pensées des policiers et leurs mésententes. D'autre part on suit le cousin d'un témoin, mais aussi son grand-père qui regrette son passé et qui passe son temps à y revenir. De plus on suit les deux adolescents que le tueur voudrait faire taire à jamais.
Avec ces longueurs qui empêchent d'entrer dans l'enquête et la mauvaise ambiance qui règne entre les policiers le lecteur ne parvient pas à entrer en osmose avec les enquêteurs. Ce qui en plus donne une dynamique de lecture très lente.
Un policier plutôt décevant
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