lundi 8 février 2021

La déesse sombre de Myriam Caillonneau

 


De nombreuses menaces planent sur Ysaldin à l’aube du couronnement de son nouveau roi. Le futur souverain craint que Kenan, le prince déchu, réclame ce qui lui revient de droit, plongeant ainsi le royaume dans une guerre fratricide. Joalaïn redoute également que la république de Yel profite de la vacance du pouvoir pour attaquer, tandis que les mages noirs en fuite se terrent dans l’ombre, prêts à la riposte.
Et si tous ces dangers n’étaient que le prélude à un péril bien plus terrible ?



Après la défaite de Garrus, Adriel et Kenan ont regagné Ysaldin où le prince Joalaïn est monté sur le trône. Tandis qu'Adriel pourchasse les derniers Purificateurs, Kenan recrute des soldats grâce au trésor de son lointain aïeul pour faire face à l'invasion des monstres venus du Nord. Yel dirigé par la guilde des Ombres s'apprête à attaquer Ysaldin. L'Azaï Vorkan prend possession du corps d'Elyne malgré les tentatives de celle-ci pour éviter une emprise totale.


Si l'univers était juqu'icic très bien décrit comme on pouvait s'y attendre dans cet ultime tome il ne se développe que très peu. Dans le final on découvre une ancienne cité enfouie sous le sable sans que l'on en sache plus sur celle-ci.


Al'instar des tomes précédents l'histoire est prenante, pleine de rebondissements et de nombreux combats qui donnent une excellente dynamique de lecture. Toutefois on aurait aimé que les batailles de masse soient plus exploitées et non quasiment centrées sur les prouesses personnelles de l'ex-mercenaire.


Si l'on ne peut s'empêcher de noter que les personnages soient quelque peu stéréotypés, ils ont été attachants tout le long du cycle et nous ont fait vibrer à chaque fois qu'ils se trouvaient face au danger.


Comme dans mes tomes précédents, l'écriture est fluide et les pages se tournent toutes seules.


Au final, une histoire bien maîtrisée de bout en bout, un univers bien décrit avec des descriptions justement dosées et un rythme trépidant.




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