mardi 10 août 2021

Les sept tours du diable de Jean-Luc Aubarbier




Un homme est retrouvé assassiné dans sa chambre d’hôtel en Inde. Peu de temps auparavant, il avait envoyé une mystérieuse et inquiétante lettre à Pierre Cavaignac et Marjolaine Karadec, ses amis archéologues  : «  D’effroyables choses se préparent... C’est une question de vie ou de mort.  »

La victime était sur le point de révéler un antique secret  : les Sept Tours du Diable. Selon la légende, il existerait sept temples répartis dans le monde, dirigés par des prêtres déviants. Le contrôle de ces centres serait la source d’un pouvoir incommensurable qui attise les convoitises d’un ordre occulte.

Entre légendes ésotériques et science de la génétique, Cavaignac et Karadec se retrouvent au cœur d’une guerre entre l’ombre et la lumière dans une enquête de tous les dangers…



Alors qu'il s’apprête, avec sa compagne, à partir pour l'Inde pour assister à un symposium, Pierre Cavaignac reçoit une lettre de François Joubert, un chercheur qui l'appelle au secours suite à une découverte terrible. Mais l'homme n'est pas au rendez-vous fixé. Le couple se lance dans une enquête pour retrouver l'homme mais aussi pour découvrir le secret qu'il voulait leur révéler.

Le récit alterne sur deux périodes : en 1938 on suit un agent secret britannique qui doit mettre fin aux agissements d'un agent triple, en 2004 on retrouve les croyances avancées par les nazis sur une race supérieure qui doit dominer le monde.

Le côté ésotérique annonce par le titre et la quatrième de couverture n'est pas du tout présent, le récit étant principalement axé sur le nazisme, la croyance aux forces du mal héritage de cet obscur passé. Sur cette partie du récit l'auteur a fournit un travail de recherche conséquent. L'auteur fournit dans son récit de nombreuses références à Bob Morane et à l'Ombre Jaune.

Les deux personnages centraux sont inintéressants à suivre, bien décrits avec le côté féministe de la femme qui pèse dans le récit.

Une plume plutôt fluide malgré des passages plus lents quand on aborde le récit du passé vu par l'agent secret qui nous arrive par les notes qu'il a prises à l'époque.


Un récit pas inintéressant mais qui ne respecte toutefois pas le côté ésotérisme annoncé.





 

Aucun commentaire: