Dans un lac proche de Stockholm, un sac noir refait surface peu après le dégel. Il contient le cadavre d'une femme, assassinée par balles. La jeune commissaire Kristina Vendel n'a guère d'indices pour commencer son enquête. Avant tout, il faut identifier la victime, ce qui promet d'être difficile puisque aucune disparition n'a été signalée et que, si l'on en croit le petit bijou orthodoxe qu'elle porte au cou, elle pourrait être originaire d'Europe de l'Est. Banal drame urbain, meurtre crapuleux, règlement de comptes entre Russes ? Au fil d'une investigation méticuleuse, Kristina et son équipe reconstituent peu à peu la vie et la mort de cette Estonienne.
Ismail Lazerevitz et son neveu Kemal, des immigrés bosniaques, sont en train de pêcher au bord d'un lac. Le pré-adolescent qui s'ennuie un peu grimpe dans un arbre, de son perchoir il aperçoit un gros sac de plastique qui flotte sur l'eau. L'oncle, d'un bar tout proche alerte la police.
Dans le sac la police découvre le corps d'une femme. C'est la commissaire Vendel, fraîchement promue, qui dirige l'enquête.
Un postulat classique pour un policier et l'on s'attendait à une enquête elle aussi simple, mais malheureusement l'auteur s'attarde trop sur les enquêteurs et s'évertue à dépeindre le côté noir de leurs vies personnelles.
Les investigations sont elles reléguées au second plan et lors des interrogatoires les pensée personnelles des enquêteurs prennent le dessus, le récit déviant une fois de plus de l'i,trigue principale.
Un roman dans la moyenne basse.