samedi 6 juillet 2024

Le roi des crânes de Laurent Guillaume

 


Le major Makosvski, après 20 ans de B.A.C (Brigade anti-criminalité) accepte une affectations aux Stups', renonçant aux rondes de nuit. Naîtra bientôt entre lui et Keita, son nouveau chef d'unité, une complicité et une amitié à toute épreuve. Mais bosser aux Stups' n'est pas une promenade de santé : la brigade a son compte de sordide. Un gamin détruit par une overdose, un dealer achevant de se décomposer dans un terrain vague....Lorsqu'une jeune magistrate est poignardée dans le parking même du palais de justice, la machine s'emballe et les démons de ses vieilles colères refont surface. il n'est plus question de procédures et de paperasses, mais à nouveau de l'instinct du chasseur, de celui de la survie....Surtout quand la proie se révèle plus redoutable que le prédateur.


Après 20 ans de B.A.C Makovski accepte le poste aux Stups que lui propose le chef adjoint de la DDPS. Son nouveua chef le Capitaine Keita lui propose de choisir les enquêtes qu'il désire mener dans les dossiers en instance. Pour sa première affaire il opte pour le cas d'un jeune homme à l'état végétatif après avoir absorbé de la cocaïne identique à celle d'une saisie lors d'une précédente affaire.

Lorsque la juge d'instruction Émilie Plessis est assassinée sur le parvis du tribunal, le chef adjoint de la DDPS, avec lequel elle avait renoué après une séparation, demande au Capitaine Keita et à Mako d'enquêter en parallèle de le PJ et en douceur.

Mais la douceur Mako ne connaît pas !


A l'instar du tome précédent pas de véritable enquête construite, l'auteur une nouvelle fois privilégie l'action.


Le personnage de Mako ne parvient toujours pas à attirer l'empathie du lecteur avec des actions violentes qui ne sont pas en adéquation avec un représentant de la loi.


Un roman policier somme toute assez moyen pour les lecteurs qui préfèrent la réflexion à l'action. 






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