Janvier 1519 : Le capitaine Philippe d'Alesani est chargé par le Connétable Charles de Bourbon d'épurer la France des sorcières qui la hantent et qui continuent à échapper à la Sainte Inquisition. Lors d'une mission, il poignarde le sorcier Bune avant que ce dernier ne puisse lui révéler l'emplacement de la Porte du Mal. Janvier 2019, Sud de la France : Isabelle vit un enfer auprès d'un mari alcoolique et violent. Son fils se met en tête d'assassiner ce père qui les terrorise. Dans le même temps, le commandant Patricia Lagazzi, officier de gendarmerie spécialisé dans les affaires criminelles liées aux phénomènes inexpliqués est missionnée dans les Landes pour y enquêter sur des disparitions qui s'y succèdent dans des circonstances étranges. Deux histoires sans le moindre point commun et qui pourtant vont s'entrechoquer dans une lutte qui mêlera sorcellerie, ordre religieux et services spéciaux du Ministère de l'Intérieur…
En 1519, le Capitaine Alesani et ses hommes cernent la cabane du sorcier Bune. Lorsqu'il pénètre dans la cabane un de ses soldats est mort et un autre aux prises avec le sorcier, il n'a d'autre choix que de le tuer et de ce fait il ne connaît pas l'emplacement de la Porte Noire.
Le récit fait un bond de cinq cents ans en avant.
Dans les Landes deux policiers enquêtent sur les disparitions de dix hommes kidnappés à la sortie de bars gays ou de clubs de strip-tease. Depuis deux ans l'enquête piétine.
Mais en parallèle, la Commandant Lagazzi d'une cellule spéciale du Ministère de l'Intérieur mène elle aussi l'enquête.
En parallèle dans le récit on suit également la famille Stal qui va croiser l'enquête.
Une enquête assez bien orchestrée même si elle aurait gagnée en profondeur à être plus complexe. La piste du sorcier étant assez facilement trouvée par la Gendarme.
Le récit repose sur une base ésotérique mais peu développée tout au long du roman, si ce n'est que dans le final.
On aurait espéré plus de profondeur et quelque chose de plus fouillé dans ce thriller dit ésotérique.
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