Fletcher
et ses amis ont accompli leur mission. Malheureusement, ils sont
désormais bloqués dans l’Éther, à la merci de son air
empoisonné et de ses démons.
Et
quand enfin ils parviennent à s’en échapper, la guerre les
rattrape.
L’Empire est
plus divisé que jamais : le peuple est convaincu que les nains
sont responsables d’une série d’attentats tandis qu’au Sud,
les orques s’apprêtent à envahir Hominum.
Leur
chef, Khan, est sûr de l’emporter s’il réalise une vieille
prophétie : s’approprier une salamandre aux pouvoirs
extraordinaires…
Fletcher
est le seul à pouvoir sauver Hominum !
Fletcher et son groupe sont parvenus à détruire les œufs de gobelins, et Fletcher à retrouvée sa mère enlevée il y a dix sept ans. Mais attaqués par les chamans orques et leurs démons et pour échapper à une mort certaine ils doivent emprunter le portail qui conduit à l’Éther.
Parviendront-ils à trouver les fleurs jaunes qui permettent de respirer l'air vicié de l’Éther et trouver le portail qui les ramènera à Hominum ?
Dans ce dernier opus de la série, l'univers se développe que très très peu, seulement quelques nouveaux démons rencontrés dans l’Éther. Pour l'ensemble de la trilogie un univers peu exploité mais on s'en doutait un peu vu qu'il s'agit d'une fantasy destinée aux plus jeunes.
L'incursion dans l’Éther se révèle trop longue, près d'une centaine de pages où il ne se passe rien ou presque, ce qui finit par lasser le lecteur.
Hormis la guerre contre les gobelins et les orques on ne peut pas parler de véritable intrigue. Le seul point fort de ce roman réside dans les combats qui occupent une grande partie du roman, et qui se révèlent très visuels.
Tout comme dans le volume précédent les personnages ne se développent pas et on a du mal à s'attacher à eux, ils paraissent trop lisses.
La plume de l'auteur est simple, fluide passé la première partie un peu répétitive dans sa construction.
Au final une bonne fantasy jeunesse mais qui ne parvient pas à convaincre un lectorat plus âgé habitué à des fantasy plus profondes et plus recherchées.
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