PRÉSENTATION DE L’ÉDITEUR
Glaide
et ses compagnons, arrivés sur Galadria grâce au Veilleur quelques
semaines plus tôt, se trouvent déjà au cœur de la tourmente… Et
même pour Glaide, excité par son aventure et émerveillé par tout
ce qui l’entoure, il est difficile de conserver son optimisme face
à la situation et aux choix qu’elle exige : Baras le cherche
activement, ayant déjà rasé une ville de la surface des Terres
Connues, et même la capitale Shinozuka, qui annonçait quelques
instants de paix, ne semble pas sûre.
On le dit Destructeur, individu synonyme d’espoir mais dont personne n’est en mesure de définir le rôle ou les caractéristiques. Pour Glaide cela signifie surtout qu’un ennemi qu’il ne connait pas chercher à le tuer… A ses yeux la seule solution envisageable s’il veut protéger ses amis devient alors le départ : un choix auquel il ne se résout que parce qu’il a encore du mal à mesurer l’impact de ses décisions, de même que ce qui s’est produit à Rackk lui semble irréel…
Le jeune homme quitte donc ses amis et part en quête du Maitre de l’Iretane pour continuer son apprentissage. Au-delà du maniement de l’épée il attend beaucoup de cette rencontre, pour devenir plus fort et plus sage…
Pourtant, malgré sa détermination, il se sent désemparé, sans la moindre indication quant à la direction à prendre, et découvre que la suite de son aventure s’annonce plus ardue. Toujours pleinement conscient qu’il se trouve là où il a toujours rêvé d’être et que la joie qu’il tire de ce qui lui arrive est encore bien présente, il comprend alors qu’elle est plus que jamais nécessaire pour aller de l’avant malgré les difficultés.
Désormais seul pour continuer sa route, à la recherche d’un ermite dans un monde qu’il connait à peine, Glaide s’apprête à faire de nombreuses rencontres : créatures de légendes, représentants d’autres races, amis ou ennemis…
Malgré les apparences, son aventure commence maintenant…
On le dit Destructeur, individu synonyme d’espoir mais dont personne n’est en mesure de définir le rôle ou les caractéristiques. Pour Glaide cela signifie surtout qu’un ennemi qu’il ne connait pas chercher à le tuer… A ses yeux la seule solution envisageable s’il veut protéger ses amis devient alors le départ : un choix auquel il ne se résout que parce qu’il a encore du mal à mesurer l’impact de ses décisions, de même que ce qui s’est produit à Rackk lui semble irréel…
Le jeune homme quitte donc ses amis et part en quête du Maitre de l’Iretane pour continuer son apprentissage. Au-delà du maniement de l’épée il attend beaucoup de cette rencontre, pour devenir plus fort et plus sage…
Pourtant, malgré sa détermination, il se sent désemparé, sans la moindre indication quant à la direction à prendre, et découvre que la suite de son aventure s’annonce plus ardue. Toujours pleinement conscient qu’il se trouve là où il a toujours rêvé d’être et que la joie qu’il tire de ce qui lui arrive est encore bien présente, il comprend alors qu’elle est plus que jamais nécessaire pour aller de l’avant malgré les difficultés.
Désormais seul pour continuer sa route, à la recherche d’un ermite dans un monde qu’il connait à peine, Glaide s’apprête à faire de nombreuses rencontres : créatures de légendes, représentants d’autres races, amis ou ennemis…
Malgré les apparences, son aventure commence maintenant…
Avec
le deuxième tome de ses Chroniques, l'auteur, aux côtés de son
protagoniste principal, nous invite à poursuivre notre immersion
dans l'univers de Galadria. Un deuxième tome qui se voudrait tourné
vers l'héroïc-fantasy puisque son héros principal s'est séparé
de ses compagnons, mais il n'est est rien. En effet, comme dans le
premier tome l'auteur, a fait abstraction, si ce n'est un
copier-coller du premier tome, à savoir des combats contre les
orques, auxquels son héros ne participe même pas.
Dans
ce deuxième volume entièrement consacré à l'apprentissage des
armes par le héros, l'auteur s'en tient uniquement au ressenti de
son héros, nous livrant un manuel de psychologie ou un remake des
Pensées de Pascal, on est loin de la fantasy que nous promettait le
postulat de départ. L'auteur n'approfondit pas assez cet
apprentissage, les descriptions de l'entraînement de son héros ne
sont pas assez exploitées par rapport aux dialogues entre le maître
et l’élève ; dialogues eux-mêmes noyés dans le flot des pensées
du dit héros.
L'auteur
persiste dans les ornières, qui pouvaient être éventuellement
excusables dans un premier tome, en ne renouvelant pas présentement
sa palette, on ressent cruellement à la lecture de ce deuxième opus
un manque total d'imagination. Même les descriptions du début du
roman ont un goût de déjà vu.
Servie
par une écriture simple et fluide, l'histoire, qui au prime abord
s'avérait intéressante, ne parvient pas à combler les attentes du
lecteur. Peut-être le troisième volume nous révélera quelques
bonnes surprises.
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