Aroha
et Dylan, un jeune couple sportif en quête d’aventure, traverse le
parc national de Victoria à la recherche d’une mine d’or dont
l’entrée a disparu depuis plus d’un siècle. Mais alors qu’ils
doivent très vite fuir un incendie et abandonner leur chasse au
trésor, ils découvrent le corps d’une jeune femme. La police de
Melbourne est prévenue. Taylor Bridges, ami du père d’Aroha, est
appelé en renfort pour ses compétences et le sang-froid dont il a
fait preuve en Tasmanie sur une enquête précédente.
Qui est
cette ombre qu’Aroha affirme avoir vue dans le canyon ? Et que
signifient les symboles retrouvés à l’entrée de la mine enfin
ouverte après toutes ces décennies ? Un secret bien enfoui refait
surface et plonge à nouveau Taylor Bridges dans les entrailles du
mal.
A la recherche d'une ancienne mine d'or descend en rappel, seule voie possible pour atteindre un canyon bouché par des éboulements. Peu avoir mis le pied au sol ils découvrent un cadavre de femme et aperçoivent plus loin une silhouette. Ils s'empressent de remonter et avertissent le sergent Marsden, le policier local, de ce qu'ils ont vu. Lors de son arrivée en hélicoptère le corps a disparu, la jeune femme lui conseille alors de demander l'aide du ranger Taylor Bridges qui part le passé a participé a une enquête criminelle.
Venu avec l'hélicoptère Bridges découvrent plus loin dans le canyon douze tombes sommaires.
Même si l'on suit plus particulièrement le ranger par rapport au tome précédent les policiers sont ici plus présents. Une enquête mieux équilibrée où l'on assiste à quelques interrogatoires alors que le ranger se focalise sur la manière de pénétrer dans le canyon autrement que par la voie des airs. Et même si la police est sur la bonne piste, c'est le ranger qui va tomber par hasard sur l'un des complices du meurtrier.
Le récit se déroulant cinq années après la première enquête de Bridges, le personnage central est moins marqué par la disparition de sa fille dont le corps a été retrouvé. Mais on a tout de même droit à certains rêves prémonitoires.
Un deuxième volume légèrement plus intéressant que le précédent même si on aurait préféré que la police soit encore plus présente.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire