RÉSUMÉ
Dans
les Cinq Territoires, les saisons débutent un autre cycle et à
nouveau, la Grande Relève en marquera l’amorce.
Renvoyé vers son pays d’origine de façon arbitraire, Cahir, rongé par l’amertume et hanté par ses souvenirs, tente de retrouver sa place parmi les siens. Tandis que, dans la cité-capitale, l’on a préféré effacer toute trace du drame pour mieux l’oublier, certaines culpabilités, quoique silencieuses encore, commencent à peser lourd.
Derrière les murs inébranlables de la tour du Nolath, l’Igilh reçoit un message glaçant en provenance des Plaines de Tilh. Il lui faut prendre une réelle décision. De celles qui, dépendantes d’un seul homme, peuvent déterminer pourtant le devenir de chacun.
Renvoyé vers son pays d’origine de façon arbitraire, Cahir, rongé par l’amertume et hanté par ses souvenirs, tente de retrouver sa place parmi les siens. Tandis que, dans la cité-capitale, l’on a préféré effacer toute trace du drame pour mieux l’oublier, certaines culpabilités, quoique silencieuses encore, commencent à peser lourd.
Derrière les murs inébranlables de la tour du Nolath, l’Igilh reçoit un message glaçant en provenance des Plaines de Tilh. Il lui faut prendre une réelle décision. De celles qui, dépendantes d’un seul homme, peuvent déterminer pourtant le devenir de chacun.
Après
un premier tome qui manquait à la fois d’envergure et,
cruellement d'action, c'est avec un certain scepticisme que
j'abordais ce deuxième opus de la saga La Dernière Terre.
Si
l'intrigue a pris plus de poids et a mis en place un enchaînement
d'événements qui donne un peu plus de rythme au récit, on retrouve
le même type d'histoire que dans le volume précédent dans le sens
où l’action prend son temps à arriver et qu'elle reste modérée,
que les descriptions ralentissent le rythme, que l'on retrouve la
lourdeur de certaines phrases et l'abus d'adjectifs,... Force est de
constater que l'auteur, une fois de plus n'est pas parvenu à éviter
les ornières d’un style de narration très dense et très lent qui
donne lieu par moment à des longueurs avec des passages indigestes à
lire.
De
plus, si l’évolution de l’intrigue a permis d’élargir et
d’amplifier le potentiel de la série, on peut encore s’interroger
sur la possibilité voire la pertinence pour la série de s’étaler
sur de nombreux tomes. Il faudrait que le rythme des événements
s’accélère encore et que d’autres intrigues annexes prennent
place pour justifier un long cycle. L'auteur nous ressert ici le même
plat que dans le premier volume. Un plat réchauffé dont a elle
délayée la sauce, si tout le cycle doit reposer sur une seule idée
le lecteur n'a pas fini de s'ennuyer !!!
Que
dire de plus ? Ayant ressenti la même sensation cruelle de vide
m'ayant assailli en refermant le premier j'avoue ne savoir
qu'ajouter. Peut-être protéger plus nos forêts, éviter d'abattre
ces-dits arbres pour une prose ennuyeuse, lente, où il ne se passe
presque rien. L'auteur aurait du s'en tenir au domaine où elle
excelle : l'illustration !!!
Il
est de plus en plus récurrent dans la high-fantasy que les auteurs
s'enferment dans des carcans de platitude ! Où est l'excellente
prose du maître du genre ?
Quand retrouvera nous une high-fantasy riche d'actions, faut-il se contenter de ne lire que des romans d'Héroïc-Fantasy ou de Sword & Sorcery ?
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