Son
nom est Farden.
On murmure qu’il est dangereux.
Dangereux est encore loin de la vérité…
Un objet a disparu des bibliothèques d’Arfell–un objet très ancien, et très puissant.
Cinq érudits ont trouvé la mort. Le pays est à nouveau au bord de la guerre, et le Conseil de la magie voit sa marge de manœuvre réduire de jour en jour.
Pris au piège d’une toile de mensonges et d’intrigues politiques, Farden sera traîné d’un bout à l’autre des terres glacées d’Emaneska. Il devra percer un secret qu’il aurait préféré ne jamais connaître, un secret qui ébranlera les fondations de son monde. Le feu des dragons et les artifices de la drogue jalonneront son chemin, au fil d’une aventure marquée par la magie, la mort et la plus cruelle des trahisons.
Vaste à vous couper le souffle, sombre à vous glacer les sangs, dangereux et mystérieux, L’Escrit vous laissera avec l’envie dévorante de découvrir le prochain volet…
Bienvenue à Emaneska.
On murmure qu’il est dangereux.
Dangereux est encore loin de la vérité…
Un objet a disparu des bibliothèques d’Arfell–un objet très ancien, et très puissant.
Cinq érudits ont trouvé la mort. Le pays est à nouveau au bord de la guerre, et le Conseil de la magie voit sa marge de manœuvre réduire de jour en jour.
Pris au piège d’une toile de mensonges et d’intrigues politiques, Farden sera traîné d’un bout à l’autre des terres glacées d’Emaneska. Il devra percer un secret qu’il aurait préféré ne jamais connaître, un secret qui ébranlera les fondations de son monde. Le feu des dragons et les artifices de la drogue jalonneront son chemin, au fil d’une aventure marquée par la magie, la mort et la plus cruelle des trahisons.
Vaste à vous couper le souffle, sombre à vous glacer les sangs, dangereux et mystérieux, L’Escrit vous laissera avec l’envie dévorante de découvrir le prochain volet…
Bienvenue à Emaneska.
Dès
que l'on voit brièvement la couverture et ceci pour la première
fois on est en droit de penser à un hommage à Alexandre Dumas et
ses Mousquetaires ou encore à un clin d’œil à Ellen Kushner et à
son roman A la pointe de l'épée.
Il
n'en est rien, c'est dans une fantasy avec une toile de fond des plus
classiques que l'auteur nous entraîne à la suite de son personnage
principal un magicien : on est à des lieues de ce que l'on
pouvait s'attendre avec une couverture très tentante qui laissait
espérer une fantasy moins basique, encore un énième ersatz du
Seigneur des Anneaux. En effet on retrouve tous les ingrédients
habituels du genre : dragon, lycan, démons, vampire, magie
ancienne et elfes noirs, minotaures.... l'auteur nous passe en revue
toute une galerie de monstres, en faisant une surenchère de
portraits … plus il y en a mieux c'est pour le lecteur et
malheureusement c'est l'effet inverse qui se produit.
Un
puissant grimoire ayant appartenu jadis aux elfes noirs à été
dérobé, les sages qui s’apprêtaient à l'étudier ont été
assassinés, un mage est chargé, par sa communauté, de découvrir
la vraie nature de l'ouvrage qui renfermerait une magie toute
puissante. Un postulat de départ somme toute des plus basiques car
il est une fois de plus question de recherche d'artefact, un sujet
moult et moult fois vu et revu en fantasy.
Le
personnage central est quelque peu caricatural, il est l'archétype
même du magicien maintes fois rencontrés dans les scénarios des
JDR des années 70's lançant à tout va ses sorts. Les personnages
secondaires, eux aussi ne sont qu'esquissés, manquant réellement de
profondeur, l'auteur semble avoir mis de côté la psychologie de ses
personnages pour ne garder que le côté théâtral. On en revient
presque aux balbutiements de l'héroïc-fantasy où le héros est
tout puissant, avec bien entendu la nostalgie en moins.
Une
magie tout ce qu'il y a de plus classique, datée, dans ce domaine,
une fois de plus, l'auteur ne fait preuve d'aucune imagination se
contentant de reprendre les ingrédients sempiternels de la fantasy
dans ce qu'elle a de plus basique. Il n'innove en rien, ne parvient
pas à surprendre le lecteur.
L'univers
est lui aussi survolé, l'auteur cite des pays mais on ne sait rien
sur ces pays, ni la géopolitique, ni la géophysique, seuls quelques
lieux où l'acteur central se rend sont décrits, certes il évite
ainsi les longueurs, mais le lecteur ne se sent pas immerger dans son
monde et à de ce fait beaucoup de mal à suivre l'intrigue
principale étant plus spectateur qu'acteur.
L'écriture
aurait pu être le point fort du roman si le texte n'avait été
émaillé tout du long de nombreuses coquilles : fautes
d'orthographes, articles manquants ou en double, mots manquants dans
une phrase, mots incomplets... au fur et à mesure de la lecture ces
errements ont finit par rebuter le lecteur.
Au
final, on se retrouve projeté dans un fantasy, certes divertissante,
mais c'est là le seul aspect positif, tout est enfantin, on sent le
manque de travail le récit est simpliste et ne donne pas envie de
lire les productions ultérieures de l'auteur.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire