vendredi 1 novembre 2024

La femme qui gênait de Stéphanie Buelens

 


Convaincue que son ex-mari Simon a provoqué la mort de sa fille, Claire Fontaine tente désespérément d’avertir la deuxième femme qu’il va épouser : celle-ci est mère d’une adolescente et, Claire en est sûre, il va s’en prendre à elle.
Simon, qui voit en Claire une paranoïaque et une menteuse, embauche Sloan Wilson, une ancienne policière de Los Angeles devenue « mangeuse de péchés », spécialiste dans la gestion des affaires délicates de ceux qui ne souhaitent pas voir la police impliquée.
Mais au fur et à mesure de son enquête, Sloan découvre qu’il y a d’un côté comme de l’autre bien plus de zones d’ombre que prévu. La date du remariage approche, et la tension monte. Dans une situation où la vérité est constamment mise en défaut sous les pressions conjuguées de la peur et du désir de vengeance, l’issue risque d’être fatale.



Claire n'a pas cru sa fille lorsque celle-ci lui a dit avoir été violée par son beau-père, et Melody s'est suicidée.

Quand Claire apprend que la nouvelle fiancée de son ex-mari a elle aussi une fille, elle tente tout ce qu'elle peut pour que les faits ne se reproduisent pas.

Lassé de son harcèlement, son ex-mari engage une ex-policière pour faire cesser les interventions de Claire.

En cherchant une faille chez Claire, la dévoreuse de péchés découvre une grosse affaire de mœurs dans laquelle son client est impliqué.


Une mise en contexte très longue où il ne se passe rien ou presque. Le récit s'avère linéaire et plat jusqu'aux ultimes chapitres consacrés à l'affaire. On ressent tout au long du récit un certain manque de tension. De ces faits le récit a beaucoup de mal à capter l'attention du lecteur qui n'hésite pas parfois à sauter quelques paragraphes.

Du fait du manque réel de tension on a beaucoup de mal à s'intéresser aux personnages


Un thriller psychologique très moyen.





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