Pierre Marlot observe une colonie d’avocettes en baie de Somme lorsqu’il reçoit un appel du consul de France en Ouganda. On n’a plus de nouvelles de sa fille Anne, journaliste prometteuse et farouchement indépendante, depuis qu’elle est partie dans l’Est de la République démocratique du Congo pour les besoins d’un reportage. En arrivant à Kampala, Pierre comprend qu’il ne faut rien attendre des services consulaires. Il se lance dans une quête solitaire sur les traces de sa fille. C’est ainsi qu’il rencontre Juliet Ochola, une journaliste travaillant pour un grand quotidien ougandais. Juliet décide de reprendre le travail d’Anne. Dans un pays où les journalistes subissent menaces de mort et arrestations arbitraires, elle s’engage dans une enquête à haut risque, alors même qu’une insurrection étudiante met la capitale à feu et à sang.
Pierre Marlot, un ancien journaliste, reçoit un appel du Consulat de France en Ouganda qui lui apprend que sa fille Anne, reporter, a disparu depuis deux semaines.
Il se rend sur place et s'aperçoit qu'aucune recherche n'a été entreprise. L'enquête que menait sa fille dérangeait nombre de personnes.
Hormis le fait que la présence du père dérange les autorités et que tout le monde trempe dans les magouilles le récit ne parvient pas à captiver le lecteur sauf peut être dans le côté de la vie en Afrique distillé à petites doses.
L'ensemble du récit ne repose que sur un fait simple qu'en Afrique tout le monde cherche son profit au détriment des autochtones. Hormis ce fait le récit ne présente aucun intérêt.
Une sorte de thriller action si l'on peut dire mais qui se révèle poussif car tout tourne uniquement autour uniquement autour des recherches de la journaliste. Tout s'est déjà passé avant le début du récit.